On dirait que l’histoire « SEFEDI-Levibeur » ne fait que commencer. Dans l’une de ses récentes publications du 5 mars 2018, Marie Gabrielle Mfegue Essomba, Attachée de presse de Lady Ponce et Chargée de la communication du festival SEFEDI (Semaine de la Femme Diamant) nous fait comprendre que le comité d’organisation dudit festival est étonné par le « scandale » fait à leur égard par l’artiste Maahlox sur les réseaux Sociaux. Elle dit que cela ne devrait pas avoir lieu étant donné que l’artiste en question n’a eu aucun « clash » avec ses confrères ou un membre du comité d’organisation.

Elle souligne que ce festival n’est pas une plateforme pour alimenter les conflits entre artistes. Et que la SEFEDI a bien agrée le passage en dernier lieu de Maalhox comme l’a souhaité celui-ci. S’étant entendu, le reste de son cachet (50% d’une somme de 500.000 Frs CFA) lui a été remis en toute confiance puisque le comité d’organisation n’avait en aucun cas crainte que Maahlox ne revienne pas. Une expression de leur confiance envers lui.

Mais malheureusement, l’artiste ne prestera pas et donnera comme justificatif le fait qu’il serait au chevet de sa fille malade.
Dans le souci d’un règlement à l’amiable, l’association Cœurs Unis de Layone Mvondo et NAR Production tous deux initiateurs de l’évènement, auraient donc appelé la team de la star urbaine pour un règlement pacifique. Règlement, qui semble ne pas marcher puisque les rumeurs courent que l’artiste Maahlox serait en détention pour « abus de confiance et escroquerie » au SED/CGN (Secrétariat d’Etat à la Défense Chargé de la Gendarmerie Nationale), après à une plainte de Lady Ponce.

Nous attendons toujours la réaction du Vibeur.
Toutefois, nous restons neutre sur cette histoire où chacun « tire la couverture de son coté », avec des versions différentes de ce qui s’est réellement passé.

Néanmoins, nous espérons que quelles qu’en soient les incompréhensions qui ont eu lieu, que ce problème soit résolu amicalement. Car nous en avons déjà assez eu, des guerres entre acteurs de notre industrie musicale qui a un défi plus important et énorme à relever contre celles des autres pays d’Afrique voire du monde.

Frank Parfait Namekong